Big pike series II

Une semaine après notre week-end big pike, nous revoilà sur la route pour passer deux jours de pêche sur ce même lac. Je passe prendre Jules après son boulot, tandis que Rémi prend la route seule pour arriver avant nous. Cela lui permet de faire le coup du soir. Ce qui ne sera pas notre cas. L'activité est très bonne puisque Rémi fait plusieurs brochets, dont un 80 et un 95, et il décroche un poisson passant le mètre. 

Nous nous levons à l'aube. Vue l'activité de la soirée précédente nous sommes sur-motivés. Mais nous allons vite déchanter. Deux heures et toujours pas une seule attaque pour l'un d'entre nous. Nous avons pêché plusieurs postes différents, plusieurs couches d'eau, plusieurs animations, coloris... rien. Ils semblent bouder. Peut être suffit-il d'attendre un pic d'activité ? Sur la fin de matinée j'enregistre une attaque. C'est un beau brochet qui passe les 90 cm. Mais je le décroche au bout de quelques secondes. Peut-être que d'autres brochets se sont eux aussi mis en activité. Lancers après lancers une seule autre tape viendra. C'est un sifflet. Ont se retrouve sur la berge pour déjeuner ensemble. Rémi qui faisait une autre partie de l'étang, à eu deux-trois tapes, lui aussi sur la fin de mâtinée. On se cale un bon repas avec une bonne bière, histoire de reprendre la pêche le ventre plein. 

Nous prenons la direction du haut de l'étang. J'arrive à la hauteur d'un arbre qui est couché dans l'eau. Je lance mon streamer à proximité du tronc. Je prends rapidement une tape inférable. Je continue l'animation, mon streamer arrive près de moi, quand je vois le brochet engamer mon streamer. Cette fois il est au bout. Les rushes sont puissants, mais rapidement il se débat en surface. Je le fait glisser dans l'épuisette très rapidement. Le combat a été bref. Habituellement ils sont bien plus combatifs sur ce lac. Quelques photos et ce brochet de 91 peut retourner à l'eau.

Je reprends la traque en faisant des lancers en éventail. Cela me permet de couvrir plus de terrain. A peine 30 minutes plus tard, justes après que mon streamer se soit posé, je prends une nouvelle attaque. Le poisson se contorsionne près de la surface. Il brasse de l'eau et le poids est bien plus lourd cette fois-ci. Le brochet me vient lentement dessus jusqu'au float tube. Il est à l'aplomb de la canne. J'entre aperçois le poisson avant qu'il parte violemment. Mais lui aussi perce la surface très rapidement. Ce poisson est massif. Un vrai boeuf. Dommage que le combat n'ai pas été à la hauteur de sa morphologie. Enfin bon. Je ne vais pas trop me plaindre vue les circonstances de la matinée. Je suis très heureux de tenir ce magnifique brochet de 102.
J'aurais pu faire mon doublé de métré 15 minutes plus tard s'il ne s'était pas décroché tout près de moi. Malheureusement Rémi et Jules n'ont pas eu une seule tape lors de ce pic d'activité. Car le reste de la journée à été calme.

Nous avions beaucoup d'espoir pour le coup du soir. Mais l'activité n'a aucunement rien à voir avec c'elle que Rémi à connu la veille. Il est temps de sortir de l'eau. Demain sera un nouveau jour.
De nouveau Rémi doit partir plus tôt. Il ne peut rester avec nous à cause d'un rdv. Il s'apercevra une fois rentré chez lui qu'il s'est trompé d'une journée.
La matinée est très lente. J'ai seulement vue un ou deux pin's suivre. Je décide de mettre un très gros streamer qui brasse beaucoup d'eau. Quelques lancers plus tard je prends une attaque, mais impossible de le ferrer. Je ne l'ai pas bien vue, mais il me semble que c'est un beau brochet. J'insiste sur la zone pendant plusieurs minutes, quand tout à coup je me fais bloquer. Il est piqué. Il secoue la gueule en surface. J'ai eu raison d'insisté puisque c'est un beau. Mais je ne sais pas se qu'ils ont ce week-end là, mais il ne m'a quasiment pas livrée de combat. J'observe le brochet au fond de l'épuisette. Métré ? Pas métré ? Difficile à dire. Effectivement, quand ça mesure 99 cm, on devient hésitant à annoncer métré.

En fin d'après midi Jules décide d'abandonner. Il n'a pas fait un seul poisson de la journée, et vue l'activité quasi nul, il perd toute motivation. Je tente de le convaincre de rester un peu et d'attendre le pic d'activité, mais rien y fait. Ca ne s'est pas joué à grand choses. A peine 10 minutes plus tard j'ai eu pendant un peu plus de 30 minutes 7 attaques. Dont deux passants les 90. Mais impossible à ferrer. Sauf le dernier. Il m'a également donné un beau combat. Etant seul et ne voulant pas perdre trop de temps je fais quelques photos sur le bord de ce brochet d'un peu plus de 85.

Très vite le temps change. Le vent se lève, et je n'ai plus aucune touche. 

J'entends un bruit qui s'approche. Je me retourne et je vois un rideau qui me vient droit dessus, c'est une grosse averse, avec de la grêle.

A bientôt

Marc

Big pike series

Le matériel de pêche est chargé dans le fourgon. Un dernier check et je pars chez mon pote Jules. Nous chargeons son matériel et c'est parti pour quasiment 3 heures de routes. Arrivée sur place vers 19 heures, on gonfle les floats, on monte les cannes, on enfile les wadders et c'est parti pour le coup du soir. Le lac est complètement lisse. Un léger voile nuageux, avec quelques nuages laisse passer une belle lumière. Il y a pas mal d'insectes sur l'eau, mais aucun gobages à l'horizon. Les brochets non plus n'ont pas l'air actif. Alors je cherche l'animation qui pourrait déclencher une attaque. Je suis encore avec mon Loutsos chartreux. Je tente plusieurs animations, vitesse... j'enregistre une tape. Le poisson est au bout. Ca m'a l'air d'un beau poisson. Bien nerveux, il me gratifie d'une petite chandelle juste avant la mise à l'épuisette. Un beau combat pour ce beau brochet de 85. La lumière du soir lui fait ressortir ses beaux reflets verts. Jules étant trop loin, je fais quelques photos tout seul avant de le regarder regagner son élément. 

Peu de temps après je reçois un coup de téléphone. C'est mon pote Remi qui vient d'arriver. Direction la berge pour s'ouvrir une bonne bière face au lac.

Le réveil sonne au petit matin. Dure... Ont à veillé tard. 4 petites heures de sommeil. Mais c'est avec une grande motivation que nous sortons de nos tentes. Le brouillard est épais. Ont ne voit pas du tout la berge d'en face. Deux-trois tranches de brioche, un vers de jus de fruits et c'est parti. Nous commençons ensemble devant la mise à l'eau. Le brouillard se lève doucement. Rémi part faire la berge en face. Jules et moi continuons. Jules prospect près de la bordure, tendit que je pêche un peu plus loin. Je suis toujours avec mon fidèle Loutsos. Je varis les animations, puis je repense à celle qui m'a permit de prendre le brochet la veille. Quelques lancés, puis je décide de l'accélérer. Bingo, après 5 ou 6 lancés je prends une tape. Le poisson explose la surface à 15-20 mètres de moi. Je pense tenir un brochet métré. Le poisson est lourd. Les coups de têtes sont puissants. Les rushes sont explosifs. Arrivé au float, j'aperçois un brochet avec un dos large, c'est gros mais difficile de dire si c'est métré. Après un beau combat, il fini à l'épuisette. La toise annonce 103. Premier métré de l'année avec un poisson aux couleurs magnifique.

Quelques minutes plus tard, je prends une attaque en bout de canne. Ce brochet qui passe les 90 se décroche sur les premiers coups de tête.

La brume laisse place, petit à petit, à un ciel plus dégagé. Ca fait plus d'une heure que nous péchons sans la moindre activité, lorsque Jules prend une attaque sur le Loutsos chartreux juste au moment de sortir le streamer de l'eau. J'ai vue toute la scène. Le brochet est sorti de l'eau lors de l'attaque. Encore un beau combat pour un beau brochet bien taillé. 90 centimètres tout rond. 

Midi arrive. Nous nous dirigeons vers les véhicules pour déjeuner. Pas d'autres poissons n'ont été sortis sur le reste de la matinée. Mis à part Rémi qui à décroché un gros brochet.

C'est le ventre bien rempli que nous remontons sur les float tube. Une averse arrive. Rémi annonce poisson. Un beau combat bien maitrisé et c'est un 87 qui vient poser devant l'objectif.

A peine 15 minutes plus tard, Rémi est de nouveau affairé avec un brochet. C'est encore un gros brochet de 91 qu'il nous met au fond du filet. Voilà, l'objectif est atteint pour chacun d'entre nous. Il nous reste encore plusieurs heures de pêche pour améliorer cette journée qui est déjà folle. Rémi aussi à choisi de pêcher avec le Loutsos chartreux et il à bien eu raison.

Deux heures passes quand je prends une attaque. Je vois le brochet gigoter en surface. Pour changer c'est un brochet d'un peu plus de 70 que je décroche directement dans l'eau. Je me retourne quand je vois la canne de Jules plier en deux. Là par contre ça à l'air plus sérieux. J'ai malheureusement loupé le début du combat où il lui à fait une belle chandelle. C'est un gros poisson qu'il met à l'épuisette. Je m'approche de Jules et je vois la queue du brochet. Je lui dits qu'il doit tenir son premier métré. Il me répond qu'il n'en est pas si sûr. La réglette nous dira ça. Je mouille comme à chaque fois le ruban de mesure. Jules m'apporte son brochet et le pose dessus. C'est l'explosion de joie. Jules est totalement euphorique. La toise annonce 101, et il est super fat. Cela fait un peu plus d'un an qu'il à commencé à pêcher à la mouche et le voilà avec son premier métré dans les bras. Et quel poisson !

Ont s'octroient une pause bière pour fêter ça. La fin d'après midi ne nous apporte rien. Jules est on fire et m'annonce poisson sur le coup du soir. La canne affiche encore une belle courbe. Je le rejoins pour faire quelques photos, mais il me dit de ne pas venir. Si il ne fait pas 90, il fera deux-trois photos dans l'eau. Il le mesure, et me dit de venir. Le Voilà brandir fièrement sont troisième gros de la journée. Un magnifique brochet de 93. 

La journée se terminera donc en beauté. Nous prenons la direction de la berge pour aller festoyer comme il se doit.

Le lendemain matin c'est un grand soleil qui nous éclaire. Rémi ne peut rester. Il prend donc la route après le réveil. Jules et moi avons jusqu'en début d'après midi pour pêcher.

Le lac est lisse, il n'y à pas un brin de vent. Je ne le sens pas du tout. Il va falloir un changement dans les conditions. Soit du vent, soit des nuages. Je prends une attaque et fait suivre un autre. Mais ce sont des petits. C'est pas bon signe. Au bout de deux heures sur l'eau, le vent se lève. L'espoir de toucher un gros revient. Je me concentre pour ne pas être surpris par une attaque. A peine 20 minutes après, je suis attelé à un brochet. Il secoue la tête en surface ce qui nous laisse voir que c'est un gros. Il me fonce dessus, je suis obligé de palmer pour garder la tension. Il est à l'aplomb du float. Il est lourd et il joue de son poids. Quelques rush puissant et je le présente à l'épuisette. Mais le courant entre eux deux ne passe pas. Il me le fait savoir dans un retournement rageur et me prend quelques mètres de soie. Deuxième tentative, je le glisse à moitié dedans quand il secoue la tête et me fiche le streamer dans l'épuisette et se décroche. La moitié de son corps est en dehors de l'épuisette. Tout peu basculer à ce moment là. Je lève comme je peux pour faire rentrer entièrement le brochet dans l'épuisette avant qu'il ne se contorsionne pour s'extirper de l'épuisette comme ils savent si bien le faire quand ils ne sont pas totalement dedans. Mais cette fois-ci, c'est pour moi. Il glisse dans le fond du filet. Encore un magnifique poisson pour commencer cette journée. Ce brochet bien gras, qui à très certainement un faible pour la nourriture fait tout juste 1 mètre. 

Jules se sauve du capot avec un poisson qu'il a su extirper des branches. Un 80 avec une robe sublime. Le reste de la journée sera plus calme. Nous feront deux ou trois brochets de taille moyenne.

Il est temps pour nous de prendre la route. 

Voici les deux streamers qui nous ont permis de capturer ces magnifiques brochets.

A bientôt 

Marc

www.thefishingfly.com

Brochet de début de saison

 

Fin avril. La traque du brochet peut reprendre. Le temps couvert, accompagné de petites aversses, avec un vent orienté ouest, est parfait pour démarrer cette saison. Les températures douce du mois de février et mars ont permit le développement précoce des herbiers, notamment des nénuphars. Les eaux sont plutôt claires. Il faut dire que les niveaux d'eau sont assez bas pour la saison. 

Pour démarrer cette nouvelle saison, je commence avec un coloris olive. Au bout d'une bonne heure de pêche, je n'ai pas vue l'ombre d'un brochet. Je change plusieurs fois de coloris jusqu’à ce que je mette le fameux loutsos chartreux qui m'a rapporté deux brochets de plus du mètre l'année passé. Il ne m'a pas fallu attendre longtemps pour faire suivre le premier brochet de la saison. Pas très long, mais bien portant. Quelques dizaines de mètres plus bas, mon streamer évolue au-dessus des nénuphars. Un brochet d'environs 90 cm engame le streamer. Je ferre, malheureusement dans le vide. Je continue de stripper et il réattaque de nouveau. Mais une fois encore, je ferre dans le vide. Il recrache bien trop vite. J'arrive à le faire suivre jusqu'au float, avant qu'il ne retourne se cacher dans les nénuphars. J'ai peut-être trouvé le coloris qui les fait bouger. Il me reste peu de temps avant de rentrer. Je tente donc ma chance sur un autre banc de nénuphar. Le streamer a à peine le temps de nager qu'un brochet vient de l'attaquer. C'est un joli brochet de 75-80 qui repart directement dans sont élément.

Quelques jours plus tard, je débauche assez tôt de mon boulot. Les conditions sont bonnes, je décide d'aller tenter le beau que j'avais loupé pour la paire d'heures dont je bénéficie. Bien entendu, il n'était pas au rendez-vous. Je continue ma traque avec le chartreux. Je lance mon streamer entre les buissons et les nénuphars. Le streamer évolue parallèlement à la berge. Soudain, un brochet surgie des nénuphars, et engame mon streamer. Le brochet est au bout. Je le sort des nénuphars pour le combattre en pleine eau. Mais il me surprend par un gros rush et il parvient à rentrer dans une tête d'arbre au milieu de la rivière. Il ne m'a pas était facile de le sortir. A chaque fois que je réussissais, il y retournait. Je suis impressionnais de la puissance de se poisson. Quelques coups de têtes en surface et je finis par le mettre au fond du filet. Ce brochet de 82 à une robe magnifique.

Le soir tombe vite, et je ne verrais pas d'autre brochet.

  

Me revoilà sur l'eau en ce jour d'ouverture du brochet de 2 ème catégorie. J'arrive assez tard sur l'eau, il est 8h environs. Le temps est toujours parfait pour pêcher le brochet. Je commence avec le loutsos chartreux. J'ai bien confiance en lui. Au bout de 30 minutes de pêche je fais suivre un brochet que j'estime à 110-115. J'ai comme l'impression que ça va être une journée compliqué, mais si ça tape, il y a de forte chance que ce soit gros. Après plus de 2 heures de pêche je n'ai pas vue d'autre poisson. Je charge le float dans le véhicule et je prends la route vers un autre secteur. Le vent qui été déjà présent se renforce, rendant la pêche moins agréable. Je me mets à l'eau et commence à pêcher. La berge est abrupte et il y a très peu d'herbier sur cette zone, alors que la berge d'en face est plus douce avec des herbiers en plus grande quantité. Mais un pêcheur ci-trouve. Je peigne cette zone le temps d'être suffisamment loin du pêcheur pour traverser. Je lance mon streamer devant un buisson. Je fais un strip, quand soudain un brochet attaque mon streamer. Le combat est lancé. Il part en direction la pleine eau dans un rush violent. Il tient le fond et me fait plusieurs rushes puissants. Je parviens à le monter près de la surface, ce qui me permet de le contempler. Mais il à encore un peu de réserve. Il repart vers le fond est sonde sous le float. Je lui mets la pression pour le faire monter et tenter de le mettre à l'épuisette. Le voilà, je lui présente l'épuisette et approche le brochet. Il semble se laisser faire, mais à la dernière seconde il donne tout ce qu'il à pour un rush court mais violent. La seconde tentative de mise à l'épuisette est la bonne. C'est un gros brochet, mais je ne pense pas qu'il atteigne la barre mythique. La mesure confirmera mon sentiment. 98 cm pour ce brochet d'ouverture. De quoi donner le sourire.

Ce sera le seul poisson de cette journée. J'aurais fait suivre plus tard un gros brochet estimé à 105-110.

Une semaine plus tard je suis de retour sur la rivière. Les conditions sont toujours idéales. Je cherche sur différents postes, avec différents coloris. Pas la moindre activité. Je change à nouveau de coloris pour le chartreux. Et oui, encore lui. Je lance le streamer près d'un tas de branches se trouvant entre deux bancs de nénuphars. Deux strips et un brochet est au bout. Un joli combat et le brochet rejoint le filet. Quelques photos et ce 80+ retourne à l'eau. 

Confiant, je reprends la traque avec ce streamer. A peine 50 mètres plus bas c'est un brochet de plus de 90 cm qui suit jusqu'au float. J'arrive sur un secteur de pêche de carpe de nuit et les carpistes sont nombreux ce jour là. Je décide de changer de secteurs et d'aller bien plus en amont. Arrivée sur les lieux, j'ai un mauvais pressentiment. J'ai l'impression que je vais me faire couper et par un très gros. Au bout de plusieurs minutes ce sentiment est toujours là. Je cherche dans mon float tube de quoi me monter un avançon en titane. J'ai un bdl de prêt, des anneaux brisé mais je n'ai pas ma pince à anneau pour attacher mes streamers. Et bien je pêcherais sans titane. Au bout de 20 minutes, alors que ce sentiment est toujours présent, je vois un très gros brochet se saisir de mon streamer. J'envoie un gros ferrage, et je maintien une forte pression. Il secoue violement la tête en surface. Au bout de 2 secondes j’entends comme un coup de fusil et la canne part en arrière. Je viens de comprendre que je me suis fait couper. Le brochet continue de se contorsionner avant de partir comme une balle en explosant la surface. Ce brochet pouvait faire 120 cm. Malheureusement je le saurais peut-être jamais. Je suis dans un tel état, j'ai du mal à reprendre la pêche comme il faut. D'ailleurs je ne verrais plus rien. 

Depuis je suis retourné sur son secteur, je l'ai fait suivre jusqu'au float... j'espère réussir de nouveau à tromper sa vigilance. Peut-être une future histoire, qui-sait. 

A bientôt 

Marc